Après avoir été aux côtés de Ségolène Royal pour l'organisation de ses grands meetings nationaux en région de Rennes, Rouen, Mont-de-Marsan, Porte de Versailles, Marseille, Limoges, Bordeaux, Metz, Nantes, Toulouse, Montpellier, Lyon, Charléty et Lille; après l'avoir accueillie pour la présentation de son pacte présidentiel à Villepinte; après l'avoir accompagnée à plusieurs reprises dans notre département de Dugny à Clichy-sous-Bois en passant par Pantin et Aulnay-sous-Bois (Ségolène Royal n'a pas besoin, elle, de compagnies de CRS pour se déplacer en Seine-Saint-Denis); après avoir pris la parole dans les meetings départementaux de Bondy et de Noisy-le-Grand; après avoir mené campagne sur les marchés, dans les lieux publics et autres salles de réunion de notre circonscription, j'étais très heureux de me retrouver chez moi à Livry-Gargan, pour le dernier rendez-vous de la campagne présidentielle.Environ 200 personnes ont participé à cette réunion publique de soutien à Ségolène Royal, animée par mon ami Jean-François Magnien, qui dirige par ailleurs ma campagne pour les élections législatives. Après les témoignages de soutien de Jean Buisson (adjoint au maire communiste de Livry-Gargan) de Ginette Contrastin (porte-parole des verts 93) de Nathalie Kouyate (secrétaire nationale du Parti radical de gauche avec laquelle je fais équipe pour l'élection législative) d'Yvette Colson (militante d'association caritative et conseillère municipale sans étiquette) de Jeanne Sultan-Maupas (médecin et conseillère municipale sans étiquette) et de Georges Guilbert (chef d'entreprise) qui ont tous exposé les raisons de leur vote en faveur de Ségolène Royal dimanche prochain, ce fut au tour de Claude Dilain (maire de Clichy-sous-Bois) de prendre la parole pour dresser le tableau des deux "France" qui coexistent et que Ségolène Royal ambitionne de rapprocher quand Nicolas Sarkozy n'aura de cesse de les opposer. Alain Calmat (maire de Livry-Gargan) rappela ensuite au travers de son parcours de citoyen et de responsable politique, les raisons de son engagement à gauche et de son soutien à Ségolène Royal. Pour conclure cette soirée, je me suis efforcé de donner quelques coups de projecteur sur les différences entre les projets de société des deux candidats. J'ai essayé de démontrer que le nombre de personnes qui avaient un intérêt objectif à voir Nicolas Sarkozy élu était en fait, compte tenu de son programme économique et social, très limité.
Autour du verre de l'amitié qui suivit ces prises de parole, une toute jeune fille, dont c'est le premier vote pour une élection présidentielle, m'a fait part des hésitations qui demeuraient les siennes malgré l'intérêt qu'elle avait porté aux discours des uns et des autres tout au long de la campagne. J'espère l'avoir convaincue...
Maintenant, on attend et cela va être long, vivement dimanche et j'espère que la gauche va arracher la victoire et démontrer ensuite que le projet socialiste est meilleur pour le peuple de France.
RépondreSupprimerNous ne voulons pas d'une France qui fait peur et nous ne voulons pas d'une 12e circonscription semblable à cel de Sarkozy, on compte sur vous mr Popelin.
Il ne faut pas nous décevoir