Depuis dix ans, la France a perdu son rang dans la compétition internationale et européenne et n’est pas parvenue à engager le virage de la mondialisation, en dépit des nombreux savoir-faire dont elle dispose sur le plan économique et industriel. La croissance est en berne, l’appareil productif marche au ralenti, le tissu industriel s’est affaibli, ce qui n’est pas sans conséquence pour la richesse de notre pays, sa croissance, l’emploi et donc la vie quotidienne du plus grand nombre de nos concitoyens. Ce déclin n’a en effet rien d’abstrait. Il est au synonyme de fermeture d’usines (et nous en savons quelque chose en Seine-Saint-Denis), de nouveaux plans sociaux et au final de suppressions d’emplois qui font vivre sur les territoires des familles entières, sans lesquels elles n’ont plus que le chômage pour seule perspective.
Telle est la réalité que subissent nombre de Français. Tel est aussi le diagnostic sans appel du bilan de dix années de gouvernements de droite, dressé par l’ancien patron d’EADS Louis Gallois dans le rapport qu’il vient de remettre au Premier ministre, au terme de la mission qui lui avait été confiée au mois de juillet dernier sur le thème de la compétitivité de l’industrie française.
Face à ce constat, le gouvernement a décidé d’engager en profondeur la rénovation économique et le sursaut industriel dont le pays a tant besoin et que nos prédécesseurs n'ont pas eu le courage de décider, malgré un contexte de crise qui appelait pourtant à des réponses structurelles urgentes.
Mercredi 8 novembre dernier, le Premier ministre a dévoilé les mesures qui seront progressivement mises en œuvre dans le cadre d’un pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi. Ces mesures s’appuient pour l’essentiel sur les conclusions et les propositions du rapport Gallois et ont vocation à mobiliser tous les leviers nécessaires pour retrouver le chemin du redressement et de la relance économique : soutien aux PME, développement de la recherche et de l’innovation, développement de filières de formation davantage tournées vers l’emploi, création d’un crédit d’impôt pour les entreprises qui embauchent et qui investissent. Toutes les pistes ont été explorées, sans à priori ni tabou, parce que l’enjeu est vital pour l’avenir de la France.
Relancer la compétitivité des entreprises n’est pas une simple mesure esthétique ou d’affichage. Il ne s’agit pas davantage d’offrir une nouvelle série de « cadeaux » aux entreprises pour leur permettre d’accroitre leurs profits sans contrepartie. La refonte de notre modèle économique doit s’opérer -dans l’esprit de la nouvelle majorité- au service de l’intérêt général, au service de l’emploi et afin aussi de mieux préparer l’avenir pour les générations futures. J’y serai tout particulièrement attentif en tant que député appelé à me prononcer sur les dispositions issues de ce Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi.
Telle est la réalité que subissent nombre de Français. Tel est aussi le diagnostic sans appel du bilan de dix années de gouvernements de droite, dressé par l’ancien patron d’EADS Louis Gallois dans le rapport qu’il vient de remettre au Premier ministre, au terme de la mission qui lui avait été confiée au mois de juillet dernier sur le thème de la compétitivité de l’industrie française.
Face à ce constat, le gouvernement a décidé d’engager en profondeur la rénovation économique et le sursaut industriel dont le pays a tant besoin et que nos prédécesseurs n'ont pas eu le courage de décider, malgré un contexte de crise qui appelait pourtant à des réponses structurelles urgentes.
Mercredi 8 novembre dernier, le Premier ministre a dévoilé les mesures qui seront progressivement mises en œuvre dans le cadre d’un pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi. Ces mesures s’appuient pour l’essentiel sur les conclusions et les propositions du rapport Gallois et ont vocation à mobiliser tous les leviers nécessaires pour retrouver le chemin du redressement et de la relance économique : soutien aux PME, développement de la recherche et de l’innovation, développement de filières de formation davantage tournées vers l’emploi, création d’un crédit d’impôt pour les entreprises qui embauchent et qui investissent. Toutes les pistes ont été explorées, sans à priori ni tabou, parce que l’enjeu est vital pour l’avenir de la France.
Relancer la compétitivité des entreprises n’est pas une simple mesure esthétique ou d’affichage. Il ne s’agit pas davantage d’offrir une nouvelle série de « cadeaux » aux entreprises pour leur permettre d’accroitre leurs profits sans contrepartie. La refonte de notre modèle économique doit s’opérer -dans l’esprit de la nouvelle majorité- au service de l’intérêt général, au service de l’emploi et afin aussi de mieux préparer l’avenir pour les générations futures. J’y serai tout particulièrement attentif en tant que député appelé à me prononcer sur les dispositions issues de ce Pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire