En 2007, Nicolas Sarkozy en avait un de ses totems de campagne : il serait le président du pouvoir d’achat, grâce notamment à son fameux « travailler plus, pour gagner plus ». Cinq années plus tard, les Français ont jugé à raison que l’incantation n’avait pas fonctionné. La crise économique est certes passée par là. Mais les choix politiques faits par la droite, toujours en faveur des plus riches parmi les plus riches, ont aussi largement contribué à cet échec.
Agir concrètement sur le pouvoir d’achat des ménages n’est pas chose aisée. Compte-tenu de la situation des finances publiques du pays, il est impossible d’accroître encore les déficits, qu’il faut au contraire réduire. En revanche, nous souhaitons agir de manière ciblée sur les principaux postes de dépense qui pèsent sur le budget des familles et placent un nombre de plus important d’entre-elles face à une impossible équation, lorsqu’il s’agit de boucler les fins de mois. Telle est la stratégie retenue par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault et la nouvelle majorité.
Plusieurs mesures ont déjà été mises en œuvre :
- le coup de pouce au Smic à hauteur de 2 % au 1er juillet (soit près de 6 mois avant la période habituelle de revalorisation) qui représente un gain net mensuel de 21,50€ pour un temps plein ;
- la suppression de la hausse de la TVA, décidée à hussarde par la précédente majorité sur injonction de l’ancien président de la République. En passant de 19,6 % à 21,2 % ce nouveau taux aurait ponctionné 12 milliards d’euros par an aux familles françaises à compter du 1er octobre. Conformément à nos engagements, nous avons supprimé cette augmentation ;
- l’augmentation de 25 % de l’Allocation de rentrée scolaire qui a concerné pour cette rentrée 2012 près de 3 millions de familles et 5 millions d’enfants ;
Quant à la baisse des prix des carburants, elle est allée jusqu’à 6 centimes par litre. Alors qu’elle s’était refusée à faire quoi que ce soit dans ce domaine, entendre la droite dire aujourd’hui que ce n’est pas assez ne manque pas de sel !
Dans les semaines et les mois qui viennent, nous poursuivrons cette action tout aussi déterminée que réaliste. Ainsi dans les prochains jours, l’Assemblée nationale engagera la discussion sur une proposition de loi relative à la mise en place d’une tarification progressive de l’énergie. Ce dispositif, qui pourrait entrer en vigueur d’ici la fin de l’année, aura vocation à alléger la facture énergétique dont on sait qu’elle pèse de plus en plus sur les foyers les plus modestes.
D’aucuns considéreront bien sûr qu’il faut faire plus et plus vite. L’expérience nous a montré que cela conduisait à devoir très rapidement faire marche arrière. Nous avons préféré la voie de l’action dans la durée. En privilégiant les actes aux promesses, la nouvelle majorité a cependant d’ores et déjà fait bien plus en quatre mois que le précédent gouvernement en cinq ans, s’agissant du pouvoir d’achat des Français.
Agir concrètement sur le pouvoir d’achat des ménages n’est pas chose aisée. Compte-tenu de la situation des finances publiques du pays, il est impossible d’accroître encore les déficits, qu’il faut au contraire réduire. En revanche, nous souhaitons agir de manière ciblée sur les principaux postes de dépense qui pèsent sur le budget des familles et placent un nombre de plus important d’entre-elles face à une impossible équation, lorsqu’il s’agit de boucler les fins de mois. Telle est la stratégie retenue par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault et la nouvelle majorité.
Plusieurs mesures ont déjà été mises en œuvre :
- le coup de pouce au Smic à hauteur de 2 % au 1er juillet (soit près de 6 mois avant la période habituelle de revalorisation) qui représente un gain net mensuel de 21,50€ pour un temps plein ;
- la suppression de la hausse de la TVA, décidée à hussarde par la précédente majorité sur injonction de l’ancien président de la République. En passant de 19,6 % à 21,2 % ce nouveau taux aurait ponctionné 12 milliards d’euros par an aux familles françaises à compter du 1er octobre. Conformément à nos engagements, nous avons supprimé cette augmentation ;
- l’augmentation de 25 % de l’Allocation de rentrée scolaire qui a concerné pour cette rentrée 2012 près de 3 millions de familles et 5 millions d’enfants ;
Quant à la baisse des prix des carburants, elle est allée jusqu’à 6 centimes par litre. Alors qu’elle s’était refusée à faire quoi que ce soit dans ce domaine, entendre la droite dire aujourd’hui que ce n’est pas assez ne manque pas de sel !
Dans les semaines et les mois qui viennent, nous poursuivrons cette action tout aussi déterminée que réaliste. Ainsi dans les prochains jours, l’Assemblée nationale engagera la discussion sur une proposition de loi relative à la mise en place d’une tarification progressive de l’énergie. Ce dispositif, qui pourrait entrer en vigueur d’ici la fin de l’année, aura vocation à alléger la facture énergétique dont on sait qu’elle pèse de plus en plus sur les foyers les plus modestes.
D’aucuns considéreront bien sûr qu’il faut faire plus et plus vite. L’expérience nous a montré que cela conduisait à devoir très rapidement faire marche arrière. Nous avons préféré la voie de l’action dans la durée. En privilégiant les actes aux promesses, la nouvelle majorité a cependant d’ores et déjà fait bien plus en quatre mois que le précédent gouvernement en cinq ans, s’agissant du pouvoir d’achat des Français.
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