Depuis quelques jours, vous pouvez découvrir ce slogan sur les murs de notre département. Cette campagne de communication, la première du nouvel exécutif départemental, vise à appeler l'attention de nos concitoyens sur le plan départemental de relance pour la création de places d'accueil destinées à la petite enfance, que j'ai présenté à la demande de Claude Bartolone, lors de la séance du 5 juin dernier.
En me confiant, en tant que vice-président du Conseil général, la délégation à l'enfance, la famille et la santé, le 20 mars dernier, le président de notre Assemblée départementale, m'avait demandé d'agir vite sur ce dossier, qu'il avait présenté dès son discours d'investiture comme une priorité pour la mandature.
Après deux mois de travail intense, le plan proposé a été approuvé jeudi dernier à l'unanimité par l'ensemble des conseillers généraux, toutes tendances politiques confondues.
Si la création de places d'accueil en faveur de la petite enfance n'est pas une compétence directe et obligatoire des Conseils généraux, nous considérons qu'y contribuer constitue un enjeu éducatif pour les enfants et un enjeu économique et social pour les parents qui travaillent ou sont à la recherche d'un emploi. Améliorer cette offre et réduire les déséquilibres territoriaux sont donc des défis que nous voulons relever, pour permettre de faire réussir la Seine-Saint-Denis.
Le plan départemental de relance pour la création de places d'accueil destinées à la petite enfance se fixe pour objectif de permettre de disposer en Seine-Saint-Denis de 3 500 places supplémentaires d'ici 2011.
Pour tenir cet objectif, j'ai proposé trois grandes orientations :
- développer et rendre plus accessible l'accueil individuel : pour cela, nous créons dès le 1er septembre prochain une Allocation départementale accueil jeune enfant (ADAJE Seine-Saint-Denis), qui sera versée aux familles ayant recours aux services d'une assistante maternelle agréée (3 niveau d'aide en fonction des ressources : 120€ par mois et par enfant, 70€ par mois et par enfant, 50€ par mois et par enfant). Dès la rentrée, plus de 5 500 familles du département seront bénéficiaires de cette aide nouvelle et sans doute très rapidement un millier de plus.
- innover pour encourager le développement de l'accueil collectif : pour cela, nous généraliserons la pratique du multi-accueil dans les crèches départementales, nous encouragerons la création de micro-crèches dans les quartiers et nous participerons financièrement à certains projets de crèches d'entreprises.
- renforcer le partenariat avec les communes : les communes sont les collectivités locales qui ont vocation à créer de nouvelles structures d'accueil. Nous voulons mieux les accompagner financièrement (en doublant l'aide du Conseil général à l'investissement et en augmentant de 20% l'aide départementale au fonctionnement) et leur proposer la signature d'une convention petite enfance avec le Département.
Au-delà de la satisfaction d'avoir vu ce plan adopté à l'unanimité par l'Assemblée départementale, il me reste maintenant à agir pour traduire dans les faits la concrétisation et la réussite de ce plan. J'aborde cette nouvelle étape avec autant d'enthousiasme que la précédente.
Retrouvez le détail du plan sur mon site www.pascalpopelin.fr ou sur le site du Conseil général www.seine-saint-denis.fr ou en appelant le numéro vert 0 800 975 000
En me confiant, en tant que vice-président du Conseil général, la délégation à l'enfance, la famille et la santé, le 20 mars dernier, le président de notre Assemblée départementale, m'avait demandé d'agir vite sur ce dossier, qu'il avait présenté dès son discours d'investiture comme une priorité pour la mandature.
Après deux mois de travail intense, le plan proposé a été approuvé jeudi dernier à l'unanimité par l'ensemble des conseillers généraux, toutes tendances politiques confondues.
Si la création de places d'accueil en faveur de la petite enfance n'est pas une compétence directe et obligatoire des Conseils généraux, nous considérons qu'y contribuer constitue un enjeu éducatif pour les enfants et un enjeu économique et social pour les parents qui travaillent ou sont à la recherche d'un emploi. Améliorer cette offre et réduire les déséquilibres territoriaux sont donc des défis que nous voulons relever, pour permettre de faire réussir la Seine-Saint-Denis.
Le plan départemental de relance pour la création de places d'accueil destinées à la petite enfance se fixe pour objectif de permettre de disposer en Seine-Saint-Denis de 3 500 places supplémentaires d'ici 2011.
Pour tenir cet objectif, j'ai proposé trois grandes orientations :
- développer et rendre plus accessible l'accueil individuel : pour cela, nous créons dès le 1er septembre prochain une Allocation départementale accueil jeune enfant (ADAJE Seine-Saint-Denis), qui sera versée aux familles ayant recours aux services d'une assistante maternelle agréée (3 niveau d'aide en fonction des ressources : 120€ par mois et par enfant, 70€ par mois et par enfant, 50€ par mois et par enfant). Dès la rentrée, plus de 5 500 familles du département seront bénéficiaires de cette aide nouvelle et sans doute très rapidement un millier de plus.
- innover pour encourager le développement de l'accueil collectif : pour cela, nous généraliserons la pratique du multi-accueil dans les crèches départementales, nous encouragerons la création de micro-crèches dans les quartiers et nous participerons financièrement à certains projets de crèches d'entreprises.
- renforcer le partenariat avec les communes : les communes sont les collectivités locales qui ont vocation à créer de nouvelles structures d'accueil. Nous voulons mieux les accompagner financièrement (en doublant l'aide du Conseil général à l'investissement et en augmentant de 20% l'aide départementale au fonctionnement) et leur proposer la signature d'une convention petite enfance avec le Département.
Au-delà de la satisfaction d'avoir vu ce plan adopté à l'unanimité par l'Assemblée départementale, il me reste maintenant à agir pour traduire dans les faits la concrétisation et la réussite de ce plan. J'aborde cette nouvelle étape avec autant d'enthousiasme que la précédente.
Retrouvez le détail du plan sur mon site www.pascalpopelin.fr ou sur le site du Conseil général www.seine-saint-denis.fr ou en appelant le numéro vert 0 800 975 000
Cher M. Popelin,
RépondreSupprimerDepuis votre élection, on a vu sur votre blog des articles sur: le Conseil général, le Centre "les ormes" particulièrement utile aux personnes âgées, le syndicat des eaux, les grands lacs de Seine et le Conseil général.
Et Livry-Gargan dans tout ça ? Encéphalogramme plat de l'équipe municipale ou démotivation de l'adjoint aux finances ?
J'admire votre dialectique !
RépondreSupprimerJe pourrais vous répondre que le Conseil général est très utile pour notre ville. Par exemple, lorsque je présente le plan départemental de relance pour la création de places d'accueil destinées à la petite enfance, j'agis pour les Livryens (pas seulement, mais aussi pour eux) : ceux qui bénéficieront de la nouvelle prestation ADAJE Seine-Saint-Denis, ceux qui dans quelques années pourront compter sur des places supplémentaires d'accueil collectif (comme notre liste s'y est engagée dans son programme municipal et comme je m'y suis engagé personnellement dans mon programme pour le canton). Je pourrais vous dire que ce qui se décide au Syndicat des Eaux d'Ile-de-France concerne tous les Livryens qui tournent leur robinet et qui ne sont pas indifférents en particulier à l'évolution du montant de leur facture d'eau dans les prochaines années. Je pourrais vous expliquer que de nombreuses familles livryennes fréquentent le centre de moyen et long séjour "Les Ormes". Je pourrais vous rappeler, mais je l'ai déjà fait dans l'article de mon blog qui y est consacré, que les Grands lacs de Seine ont un rôle essentiel pour garantir les ressources en eau de Livry-Gargan en cas de sécheresse.
Vous savez, Livry-Gargan ne vit pas en vase clos !
Devez-vous tirer pour conclusion du choix des thèmes de ces articles qu'il ne se passe rien à la mairie ? Je suis navré de vous apprendre que cette conclusion me semble aussi infondée que l'étaient les maigres éléments de campagne de la liste que vous souteniez au mois de mars dernier.
Depuis les élections municipales, l'adjoint aux finances que vous interpellez, a travaillé à la présentation au Conseil municipal du compte administratif 2007 et du budget 2008 (ce blog s'en est d'ailleurs fait l'écho en son temps). J'ai participé aux Commissions d'appel d'offre qui ont permis la conclusion de nombreux marchés lancés en exécution de ce même budget, au jury du concours d'architecture pour la réhabilitation et l'agrandissement du gymnase Jacob, à la plupart des manifestations municipales ou associatives organisées dans la commune. J'ai reçu dans ma permanence plus d'une centaine de Livryens en faveur desquels je suis intervenu. J'en ai rencontré bien plus sur les marchés de notre ville (où je ne vais pas simplement avant les élections). Et je rentre à l'instant d'une réunion de la majorité municipale au cours de laquelle nous avons travaillé sur la cinquantaine de délibérations qui seront proposées au prochain Conseil...
Bref, question électroencéphalogramme plat, je pense qu'il y a pire. Et côté motivation, ça va merci !
Si vous relisez bien, vous constaterez que je n'ai pas minoré l'importance ni du Conseil général, ni du centre des ormes, ni même des grands lacs de Seine ou du syndicat des eaux.
RépondreSupprimerPar ailleurs, du fait de mon intervention, les lecteurs de ce blog auront quelques informations, enfin (!), sur l'actualité municipale. Vous n'y avez pas consacré d'article, mais il me semble que le vote du budget est un événement un peu important dans une ville. Donc sans vouloir donner l'impression de vivre en vase clos comme vous dites, c'est pas mal d'en dire un mot. Après tout, vous êtes tout de même l'équivalent du ministre de l'économie et des finances à la ville...
Quant à la liste que je soutenais, vous tirez un peu sur une ambulance, et en plus elle valait bien qu'on s'y consacre un peu, pour les quelques bons éléments qui y figuraient et qui n'ont malheureusement pu s'exprimer comme ils le méritaient.
Merci bien
RépondreSupprimer