Voici bientôt deux semaines que le nouveau président de la République François Hollande a pris ses fonctions. Les premiers jours du quinquennat ont été marqués par la sobriété, le respect des engagements et le volontarisme.
Sobriété pour les cérémonies prévues le jour de l'investiture. Respect des engagements pour la composition du gouvernement, paritaire pour la première fois de l'histoire du pays, profondément renouvelé du point de vue des parcours et des générations. Respect des engagements aussi avec la baisse immédiate du 30 % de la rémunération du président de la République, du Premier ministre et de l'ensemble des ministres, ou encore la réduction du train de vie des cabinets ministériels. Volontarisme enfin, avec la charte de déontologie engageant les membres du gouvernement par des règles de stricte exemplarité. Volontarisme surtout avec la séquence diplomatique qui a conduit François Hollande en Allemagne, aux Etats-Unis pour le sommet de l'Otan, à Bruxelles pour un somment européen informel, en encore en Afghanistan. Lors de chacun de ces déplacements, le chef de l'Etat a réaffirmé les principes qu'il avait énoncés et sur lesquels il s'était engagé durant la campagne. Alors que la droite prédisait l'impossibilité de tout changement dans ces domaines, les faits ont démontré qu'une nouvelle voix de la France pouvait être entendue et écoutée par nos partenaires européens et nos alliés internationaux.
Les premiers pas du nouvel exécutif ont donc, je le crois, fait honneur à la France. C'est d'ailleurs pour l'instant l'opinion d'une large majorité de Français, bien au-delà du choix effectué lors du 2e tour de l'élection présidentielle. Il convient maintenant de donner à François Hollande, à son premier ministre Jean-Marc Ayrault et à son gouvernement, les moyens d'agir dans la durée. Le gouvernement devant, selon nos institutions, être l'émanation de la majorité à l'Assemblée nationale, les élections législatives qui se tiendront dans moins de quinze jours (dimanche 10 juin pour le 1er tour et dimanche 17 juin pour le second) seront donc décisives. Leur issue permettra soit le maintien de la nouvelle équipe mise en place il y a moins de deux semaines, soit le retour dans trois semaines et pour cinq années de plus, de ceux qui viennent d'être remerciés lors de l'élection présidentielle.
Je fais confiance au bon sens de mes compatriotes.
Sobriété pour les cérémonies prévues le jour de l'investiture. Respect des engagements pour la composition du gouvernement, paritaire pour la première fois de l'histoire du pays, profondément renouvelé du point de vue des parcours et des générations. Respect des engagements aussi avec la baisse immédiate du 30 % de la rémunération du président de la République, du Premier ministre et de l'ensemble des ministres, ou encore la réduction du train de vie des cabinets ministériels. Volontarisme enfin, avec la charte de déontologie engageant les membres du gouvernement par des règles de stricte exemplarité. Volontarisme surtout avec la séquence diplomatique qui a conduit François Hollande en Allemagne, aux Etats-Unis pour le sommet de l'Otan, à Bruxelles pour un somment européen informel, en encore en Afghanistan. Lors de chacun de ces déplacements, le chef de l'Etat a réaffirmé les principes qu'il avait énoncés et sur lesquels il s'était engagé durant la campagne. Alors que la droite prédisait l'impossibilité de tout changement dans ces domaines, les faits ont démontré qu'une nouvelle voix de la France pouvait être entendue et écoutée par nos partenaires européens et nos alliés internationaux.
Les premiers pas du nouvel exécutif ont donc, je le crois, fait honneur à la France. C'est d'ailleurs pour l'instant l'opinion d'une large majorité de Français, bien au-delà du choix effectué lors du 2e tour de l'élection présidentielle. Il convient maintenant de donner à François Hollande, à son premier ministre Jean-Marc Ayrault et à son gouvernement, les moyens d'agir dans la durée. Le gouvernement devant, selon nos institutions, être l'émanation de la majorité à l'Assemblée nationale, les élections législatives qui se tiendront dans moins de quinze jours (dimanche 10 juin pour le 1er tour et dimanche 17 juin pour le second) seront donc décisives. Leur issue permettra soit le maintien de la nouvelle équipe mise en place il y a moins de deux semaines, soit le retour dans trois semaines et pour cinq années de plus, de ceux qui viennent d'être remerciés lors de l'élection présidentielle.
Je fais confiance au bon sens de mes compatriotes.
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