C’est un des principaux échecs du quinquennat de l’actuel président de la République et de dix ans de droite aux commandes du pays : le chômage n’a cessé de progresser pour atteindre un niveau inégalé depuis douze ans. Un million de chômeurs en plus en une decennie avec la droite, à comparer au million de chomeurs en moins enregistré entre 1997 et 2002, dernière période d'un gouvernement de gauche.
Premières victimes de ce fléau, les jeunes de moins de 30 ans, qui peinent plus que les autres à décrocher un emploi stable. Pas assez expérimentée, insuffisamment diplômée ou au contraire surqualifiée, la jeunesse se retrouve souvent face à une impasse professionnelle. Les seniors ne sont pas en reste face à ces difficultés et à un marché du travail de plus en plus centré sur des critères de performance, qui conduisent trop souvent à stigmatiser les salariés en fin voire en milieu de carrière.
S’intéresser à la jeunesse et aux conditions de sa réussite, valoriser dans l’emploi ceux qui ont l’expérience des années, c’est faire le pari de l’avenir. Pour ces raisons François Hollande a souhaité faire de cet enjeu un élément important de son programme présidentiel. S’il est élu, il mettra en place le « contrat de génération », dont l’objectif est de doper l’emploi des jeunes tout en favorisant le maintien dans l’emploi de leurs aînés.
L’objectif fixé est de faire signer 500 000 contrats de génération en cinq ans. Le principe est simple : lier l’embauche en contrat à durée déterminée (CDI) d’un jeune de moins de 30 ans au maintien dans l’emploi d’un senior, chargé de transmettre son savoir-faire et l’expérience acquise au sein de l’entreprise.
Un contrat gagnant-gagnant qui représentera une véritable avancée pour les salariés concernés, mais aussi pour les entreprises qui en accepteront les règles. En plus des exonérations de charge, elles auront la garantie d’intégrer de jeunes salariés plus vite opérationnels, puisqu'épaulés par des collègues plus expérimentés.
Le coût de cette mesure pour l’Etat -évalué à 2,3 milliards d’euros- et les moyens à mobiliser pour en assurer intégralement le financement sans charge supplémentaire pour les finances publiques, ont d’ores et déjà été établis, par redéploiement d’aides à l’emploi et d’allègements de charges existants, dont l’efficacité est loin d’être avérée. Ce nouveau dispositif sera applicable très rapidement, à la suite d’un processus de négociation et de concertation qui sera engagé au préalable avec les entreprises immédiatement après la prise de fonction du nouveau chef de l'Etat et la constitution de son gouvernement.
L’actuel président de la République ne cesse de répéter qu’il a changé. C'est peu crédible et, en tout état de cause secondaire. François Hollande sera lui, le président de la République qui permettra concrètement le changement !
Premières victimes de ce fléau, les jeunes de moins de 30 ans, qui peinent plus que les autres à décrocher un emploi stable. Pas assez expérimentée, insuffisamment diplômée ou au contraire surqualifiée, la jeunesse se retrouve souvent face à une impasse professionnelle. Les seniors ne sont pas en reste face à ces difficultés et à un marché du travail de plus en plus centré sur des critères de performance, qui conduisent trop souvent à stigmatiser les salariés en fin voire en milieu de carrière.
S’intéresser à la jeunesse et aux conditions de sa réussite, valoriser dans l’emploi ceux qui ont l’expérience des années, c’est faire le pari de l’avenir. Pour ces raisons François Hollande a souhaité faire de cet enjeu un élément important de son programme présidentiel. S’il est élu, il mettra en place le « contrat de génération », dont l’objectif est de doper l’emploi des jeunes tout en favorisant le maintien dans l’emploi de leurs aînés.
L’objectif fixé est de faire signer 500 000 contrats de génération en cinq ans. Le principe est simple : lier l’embauche en contrat à durée déterminée (CDI) d’un jeune de moins de 30 ans au maintien dans l’emploi d’un senior, chargé de transmettre son savoir-faire et l’expérience acquise au sein de l’entreprise.
Un contrat gagnant-gagnant qui représentera une véritable avancée pour les salariés concernés, mais aussi pour les entreprises qui en accepteront les règles. En plus des exonérations de charge, elles auront la garantie d’intégrer de jeunes salariés plus vite opérationnels, puisqu'épaulés par des collègues plus expérimentés.
Le coût de cette mesure pour l’Etat -évalué à 2,3 milliards d’euros- et les moyens à mobiliser pour en assurer intégralement le financement sans charge supplémentaire pour les finances publiques, ont d’ores et déjà été établis, par redéploiement d’aides à l’emploi et d’allègements de charges existants, dont l’efficacité est loin d’être avérée. Ce nouveau dispositif sera applicable très rapidement, à la suite d’un processus de négociation et de concertation qui sera engagé au préalable avec les entreprises immédiatement après la prise de fonction du nouveau chef de l'Etat et la constitution de son gouvernement.
L’actuel président de la République ne cesse de répéter qu’il a changé. C'est peu crédible et, en tout état de cause secondaire. François Hollande sera lui, le président de la République qui permettra concrètement le changement !
Monsieur POPELIN,
RépondreSupprimerJ’ai quitté le PS pour l’honnêteté, la fraternité et l’efficacité du Front de Gauche
La rumeur se répand depuis bien longtemps et fini par s’avérer réelle quant les intérêts personnels, la carrière, la soif du pouvoir de certains hommes dont l’ambition détermine bien l’esbroufe quant au choix de leur soit disant convictions intellectuelles pour un parti politique à fortiori de gauche.
Hommes fourbes sans conviction sociale, mais remplis d’opportunisme nauséabond, blottis au sein du parti Socialiste, attentistes et silencieux pendant cinq années consécutives, apprécient l’ombre du front national qui fait office de chien de garde afin que le « vote utile » (Hollande) soit de mise, guettent le poste suprême pour l'un et ministériels pour les autres….
Ces derniers se chargent avec talent de par leurs allégations mensongères au travers de bouquins, d’émissions télévisées, des médiats papier et Internet de faire passer la pilule aux militants et sympathisants Socialistes, qui, de bonne foi, ont élus ces hommes croyant en leurs promesses électorales et leur appartenance Socialiste dans l’espoir qu’ils se chargent de faire bouger les choses pour améliorer leurs conditions de vie en humanisant la politique française avec fraternité et honnêteté.
Dotés d’un sens oratoire très développé arrivent à convaincre les militants de leur esprit social faraud et imaginaire.
Peu sont les hommes et les femmes politiques tendant à éradiquer ce fléaux d’imposture dévastateur, bourrés de qualificatifs pas très jolis, mais pourtant justes comme : Opportuniste, profiteur, égoïste, menteur, traite et j’en passe….
Que le vent les emporte loin, très loin de nos idéaux qui ne sont pas leurs, sans regret.
Quant au locataire de l'Élysée, depuis cinq ans, il gesticule avec vigueur et désordre, mettant ainsi à jour l’incompétence dont il est affublé et démontre de part son bilan, ses nombreuses manifestations médiatiques irréfléchies et incohérentes, son attachement au pouvoir suprême d’où apparaît l’ombre d’une dictature sournoise, s’évertue dans un but de profit électoral et de déstabilisation de l’opposition à jouer à « l’ouverture bouffonne » !
Aidé en cela par des hommes et des femmes politiques aveuglent, sans charisme à l’intelligence et au caractère mou, tirant la couverture à eux de toute leurs force, négligeant la fonction légitime pour laquelle ils ont été élus, croyant que la politique du 21me siècle recel encore le fatalisme de la médiocrité et des abus dont ils font preuve.
Il est bien évident qu'il faut sortir cette droite de la gouvernance, mais pas avec n'importe qu'elle gauche !
Une seule femme membre du parti socialiste, qui hélas à été évincée par l'appareil PS, Ségolène Royal, reflète l'honnêteté, la persévérance de ses convictions intelligentes et équitables puisées dans ses expériences de vie en qualité de mère, femme intellectuelle et femme politique, en vue d'un monde nouveau fraternel et juste pour notre avenir à tous....que je soutien toujours, mérite d'être un jour Présidente de la République.
C'est pour moi une leçon et cela ne m'empêche pas, pour ce qui est des élections Présidentielles de faire confiance à la Gauche, la vraie Gauche, je parle du Front de Gauche représenté par Jean-Luc Mélenchon qui propose un programme très proche de celui que Ségolène Royal avait élaboré et ainsi soutenir les femmes et les hommes de gauche honnêtes envers leurs convictions qui se battent réellement pour que le peuple Français cesse enfin de survivre, mais s'épanouisse dans le partage des richesses issues du travail d'une majorité.
Je voterai Jean-Luc Mélenchon aux deux tours cela va de soit !
Un ancien "camarade" qui y a crut...
Cher anonyme,
RépondreSupprimerChacun est libre de ses opinions et c'est la raison pour laquelle je publie la vôtre, à laquelle, vous l'imaginez, je n'adhère pas.
Je me permets simplement de vous faire remarquer que Ségolène Royal n'a pas été "évincée par l'appareil PS" comme vous l'écrivez, la désignation du candidat socialiste à l'élection présidentielle ayant été organisée pour la première fois dans l'histoire de notre République dans le cadre d'une primaire citoyenne à laquelle, si l'on considère les deux tours, plus de 3 millions de Français ont participé. J'observe également que cette formule correspondait au souhait que Ségolène Royal avait exprimé de longue date. J'observe enfin que Ségolène Royal soutient sans réserve François Hollande dans cette campagne présidentielle.