samedi 18 décembre 2010

Profitez de la nouvelle version de mon site...

Nous y travaillions depuis déjà longtemps. J'en avais annoncé la mise en ligne prochaine dès cet été. C'est désormais chose faite depuis le début du mois de décembre : la nouvelle version de pascalpopelin.fr est enfin disponible. Mise à jour très régulièrement, n'hésitez pas à la consulter. C'est là que se trouve toute mon actualité. C'est aussi devenu avec le temps une véritable base de données sur les actions que j'ai entreprises et les positions que j'ai défendues depuis la création du site fin 2006.

Derniers dossiers mis en ligne :

- les comptes rendus du dernier Conseil municipal et de la dernière Commission permanente du Conseil général de l'année 2010,

- mes interventions auprès du président du Conseil général en faveur des collèges de Livry-Gargan et auprès du préfet de la Seine-Saint-Denis pour appeler son attention sur le projet de reconstruction du commissariat,

- un point sur les travaux en cours sur le giratoire de la 3 à Livry-Gargan,

- la tribune que j'ai publiée le 14 décembre dans le journal "Les échos" sur le risque crue en Ile-de-France,

- le dernier numéro de ma newsletter publiée le 15 décembre...

Et plein d'autre choses à découvrir sur http://www.pascalpopelin.fr/





jeudi 9 décembre 2010

Il neige ! Mais que fait la mairie ?


Il n'a échappé à personne que, depuis hier après-midi, la neige est tombée en abondance sur Livry-Gargan, comme sur l'ensemble de l'Ile-de-France. Au-delà des magnifiques paysages ainsi créés (comme notre cèdre est beau tout vêtu de blanc !), l'aléa méteo perturbe notre vie quotidienne, comme les média s'en sont largement fait l'écho depuis vingt-quatre heures.

L'occasion de faire le point sur l'action des services municipaux en matière de déneigement et de préciser certains points, qui font souvent l'objet d'interpellations lors des rencontres avec les Livryens ou d'appels téléphoniques reçus en mairie :

1. Livry-Gargan n'étant pas une station de haute montagne, le matériel de déneigement dont disposent les services municipaux est constitué d'un camion équipable d'une saleuse et d'une lame chasse-neige (utilisable uniquement pour les axes larges et employée pour la première fois hier - photo ci-contre) et de deux tracteurs équipés de saleuses, pouvant accéder dans les voies plus étroites. En outre, le service propreté dispose de matériels mobiles utilisables par les agents se déplaçant à pied pour agir notamment sur les trottoirs situés devant les édifices publics. Le responsable du service avait eu la bonne idée de me faire commander trois équipements supplémentaires de ce type la semaine dernière, qui ont été livrés immédiatement. Quant aux réserves de sel, elles sont actuellement suffisantes pour faire face à un épisode de plusieurs jours et une commande nouvelle a immédiatement été effectuée.

2. Dès que l'alerte neige est donnée par les services de l'Etat, les agents municipaux sont mobilisés. Ainsi, à titre d'exemple, toutes les équipes étaient sur le terrain et tous les matériels déployés durant toute la journée d'hier. Il convient de noter toutefois que le travail était rendu particulièrement difficile en raison de la circulation, très perturbée par les automobilistes surpris par la soudaineté et l'ampleur des chutes de neige. Hier soir à 20 heures, j'étais présent au garage municipal pour le départ de l'équipe qui a tourné jusque vers 23 heures, suivant un plan établi à l'avance (ce plan privilégie les axes majeurs, en particulier ceux sur lesquels circulent des bus, avant d'enchaîner sur le réseau secondaire, lui aussi traité). Une autre équipe a pris le relais ce matin dès 3h30, pour permettre le ramassage des ordures ménagères dans les meilleures conditions possibles dès 5h30.

3. Malgré ce dispositif, mis en place lors de chaque alerte neige, la circulation reste perturbée et chacun doit demeurer prudent. Les questions les plus souvent posées sont les suivantes :

- pourquoi ne salez vous pas avant, préventivement ? Tout simplement parce que ça ne servirait à rien !

- pourquoi ne traitez vous que les grands axes et pas ma "petite rue" ? Les 80 kilomètres de voies sont intégralement traités. Toutefois, les grands axes sont plus rapidement dégagés, d'une part parce c'est par eux que nous commençons pour des raisons évidentes de sécurité, d'autre part parce qu'une fois le sel déposé, il faut du passage dessus pour qu'il fasse effet. Or il y a, par définition, moins de passage dans le réseau secondaire.

- êtes-vous vraiment certains de ne pas avoir oublié ma rue ? Oui, si l'épisode neigeux dure environ 48 heures, ce délai laisse le temps aux services municipaux de passer partout. Cependant, il faut savoir qu'en dessous d'une certaine température, sel ou pas sel, la glace ne fond pas !

Trois remarques pour terminer.

1. Un coup de chapeau aux fonctionnaires municipaux qui s'activent jour et (pour certains) nuit pour saler, déneiger et continuer de faire fonctionner au mieux les services publics locaux, afin que notre vie quotidienne soit le moins perturbée possible.

2. Un rappel à tous : le déneignement du trottoir devant chez soi est de la responsabilité de chacun.

3. Une réflexion un peu plus vaste, qui rejoint ce que j'ai écrit dans mon livre consacré au risque inondation* : ayons la sagesse d'accepter que la nature puisse parfois venir perturber notre mode de vie très sophistiqué. Malgré toute son intelligence, l'être humain ne peut pas tout réguler !


* Le jour où l'eau reviendra (Editions Jean-Claude Gawsewitch)

dimanche 17 octobre 2010

Le progamme exceptionnel d'investissement en faveur des collèges adopté !


Après la pantalonnade de jeudi dernier (voir l'article précédent de ce blog), la séance exceptionnelle du Conseil général de ce matin nous a réservé une nouvelle surprise. Ni les conseillers généraux communistes (à l'exception notable de Jean-Jacques Karman, elu du canton d'Aubervilliers-ouest), ni ceux de droite ne se sont présentés. La loi n'exigeant plus le quorum qui nous avait fait défaut il y a trois jours, les seuls élus du groupe socialiste et gauche citoyenne ont donc adopté le plan. Ci-dessous, le texte de l'intervention que j'ai faite, en clôture de la discussion.


M. le président,
Mes chers collègues,
Mesdames, Messieurs,

Je ne reviendrai pas sur le fond du plan exceptionnel d’investissement en faveur des collèges, soumis aujourd’hui à notre vote, tant il me semble inutile d’ajouter encore à l’évidence de sa nécessité et de son urgence, tant il me semble superflu de chercher à ajouter à la conviction d’élus, tous ici déjà convaincus, à l’exception de notre collègue Jean-Jacques Karman, dont je salue néanmoins le courage d’être venu -seul ici ce matin- exprimer son point de vue.

Je siège dans cette Assemblée depuis plus de seize ans. J’y ai connu trois présidents. J’y fus président de commission, président de groupe, avant de participer à l’exécutif. C’est dire si j’ai eu l’occasion d’assister et de prendre part à des débats de toute sorte, sereins ou animés, sur de petits comme sur de grands sujets.

Mais c’est la première fois qu’il m’est donné d’observer ici deux attitudes qui ne font partie ni de ma culture politique, ni de ma conception du comportement d’élus de la République : la fuite, puis l’absence.

La fuite, c’est le scénario que nous ont joué jeudi dernier nos collègues communistes, rapidement rejoints par nos collègues de droite, dans un très joli mouvement d’ensemble, finalement pas si inédit que cela en Seine-Saint-Denis. Nous avons ainsi été confrontés au paradoxe de collègues qui clamaient leur regret d’une supposée insuffisance de débat, pour immédiatement le déserter, au moment où il s’engageait à peine publiquement, au sein de cette Assemblée !

L’absence, ce sont ces sièges vides ce matin, révélateurs du dilemme. Nous avons même droit à une nouveauté, un « apport original », comme d’autres auraient dit, en d’autres temps : le collègue qui est là, dans la salle, mais qui ne siège pas ! S’agirait-il d’une nouvelle manifestation du fameux « soutien sans participation » ?

Nos collègues connaissent en effet parfaitement les mécanismes de fonctionnement d’une Assemblée comme la nôtre. Ils savent très bien que notre seul vote va permettre l’adoption du plan. J’en déduis qu’ils n’y sont pas opposés. Sinon, nul doute qu’ils se seraient obligés à venir voter contre. Certains auraient pu aussi manifester leur distance, avec tel ou tel aspect du dossier, par exemple en s’abstenant.

Mais de tout cela point.

Comment alors, ne pas se persuader que le problème n’est pas le plan, mais ceux qui le proposent ? Ceux qui proposent enfin de doter la Seine-Saint-Denis de moyens exceptionnels pour relever, partout sur son territoire, le défi de conditions de qualité pour l’avenir de ses enfants.

Chacun l’a bien compris, à quelques mois des élections cantonales, il aurait été insupportable à certains de nos collègues de voter pour une telle proposition, parce qu’elle est portée par le président du Conseil général et le groupe des élus socialistes et gauche citoyenne. Et il était tout autant impossible de ne pas la voter ! Telle est, à mon sens, l’explication de l’indicible.

Je ne suis pas certain que ce mauvais calcul politicien serve les intérêts politiques de ceux qui ont fait le choix de s’y livrer.

Pour notre part, nous sommes tous là. Pas un élu ne manque en ce dimanche matin. Il nous reste donc à faire notre devoir. Et notre devoir, c’est maintenant de voter ce plan.

jeudi 14 octobre 2010

Conseil général : nous siégerons donc dimanche !


Personnellement, j'ai toujours considéré que le fond importait plus que la forme, même s'il ne faut jamais négliger cette dernière. Depuis que j'ai l'honneur d'être un élu de la République, je me suis aussi toujours efforcé de faire primer l'intérêt général sur le calcul politicien, ce qui n'exclut en rien d'avoir des convictions et de les défendre. La séance de l'Assemblée départementale de ce matin pourrait donner à penser que cette façon de voir les choses n'est pas partagée par tous.

Nous étions réunis pour examiner et -je le pensais- adopter, pourquoi pas à l'unanimité, un plan exceptionnel d'investissement en faveur des collèges du département. L'occasion historique pour le Conseil général de se donner les moyens de rattraper un retard qui ne l'est pas moins. Construction, reconstruction ou réhabilitation de 21 collèges (dont, près de nous, Louise-Michel à Clichy-sous-Bois et Jean-Baptiste-Corot au Raincy), création de 9 cuisines centrales et de 3 internats, mise en place d'un vaste plan numérique, pour un total de 703 millions d'euros sur cinq années, dont 145 millions d'euros de travaux de modernisation et de grosses réparations (enveloppe dans laquelle j'agis pour obtenir la mise aux normes pédagogiques des collèges Edouard-Herriot et Léon-Jouhaux de Livry-Gargan). Du jamais vu en Seine-Saint-Denis, où, au cours des dernières années, malgré la croissance démographique, le Département n'a été capable de faire sortir de terre qu'un seul nouveau collège : Lucie-Aubrac, à Livry-Gargan !

Au motif qu'ils n'auraient pas été suffisamment consultés au cours de l'élaboration de ce plan, nos collègues communistes ont quitté la salle très rapidement, sans attendre que les différents orateurs inscrits dans le débat n'aient pu s'exprimer. Sans doute parce que les communistes avaient quitté la séance, les élus de droite leur ont emboîté le pas, privant l'Assemblée de quorum, ce qui suspend de droit ses travaux.

Vu la faiblesse des arguments employés pour justifier cette fuite, il est évident que sa motivation réelle n'est liée qu'au calendrier électoral, qui prévoit le renouvellement de la moitié des conseillers généraux au mois de mars prochain (le canton de Livry-Gargan n'est pas concerné). Pour ne pas avoir, à quelques mois des élections, à apporter leur soutien à la proposition du président du Conseil général, pourtant équilibrée d'un point de vue géographique et répondant à des besoins indispensables, des élus ont donc pris la responsabilité d'empêcher l'adoption de ce plan. Je ne suis pas certain que ce calcul politicien soit une bonne opération politique pour eux.

Comme la loi le prévoit, l'Assemblée départementale siégera donc dimanche matin, sans quorum requis, pour examiner de nouveau ce plan. Dans la logique des orientations que j'ai toujours défendues au Conseil général*, je voterai ce plan des deux mains. J'invite tous mes collègues qui considèrent que l'intérêt général prime sur le calcul politicien à faire de même et tous les citoyens à être attentifs au comportement de leurs élus.
* Lors de la séance consacrée au vote du budget départemental 2006, le 26 mars 2006, je déclarais "Nous prenons enfin comme un élément de progrès l'abondement d'un million d'euros, par rapport à la proposition budgétaire initiale, de l'enveloppe d'investissement consacrée au gros entretien des collèges. Il n'était en effet plus possible de continuer à faire de ces dépenses la variable d'ajustement de l'exécution budgétaire, comme ce fut trop souvent le cas au cours de ces dernières années (...) Afin d'agir pour la réussite, nous pensons qu'il faudra aussi, dès l'année prochaine, nous engager au-delà de ce que nous faisons déjà". Lors de la séance consacrée au vote du budget départemental 2008, le 16 décembre 2007, j'insistais : "Beaucoup reste à faire demain, pour améliorer les délais de mise en oeuvre effective de nos décisions d'investissement, qu'il s'agisse des grands, des petits travaux, des constructions neuves ou des rénovations de nos bientôt 120 collèges (...) De la réussite de nos collégiens dépend la réussite de la Seine-Saint-Denis du XXIe siècle".

vendredi 24 septembre 2010

Impôts locaux : pourquoi la note augmente ?


Tous les contribuables ont reçu ou vont recevoir bientôt le montant de leurs impôts locaux 2010 (taxe foncière pour les propriétaires, taxe d’habitation pour tous les résidents). Ces impôts, qui constituent la principale ressource des collectivités territoriales, sont décidés pour un peu moins de deux tiers par le Conseil municipal, un peu moins d’un tiers par le Conseil général de Seine-Saint-Denis, une part marginale étant perçue par le Conseil régional d’Ile-de-France (pour la taxe foncière).

Les autres ressources des collectivités sont, par ordre d’importance, les dotations de l’Etat, décidées par le parlement sur proposition du gouvernement et les participations directes des usagers au financement des services qu’ils utilisent (restauration scolaire, crèche, centre nautique, cinéma…).

A la différence de l’Etat, les collectivités ne peuvent réaliser plus de dépenses qu’ils n’ont de recettes, à l’exception des investissements, pour lesquels l’emprunt est autorisé. Dans ce cadre, qui s’impose à tous, si l’une des recettes baisse de façon significative durant plusieurs années, il faut soit réduire les dépenses, soit augmenter une autre ressource.

Baisser les dépenses n’est pas aussi aisé que certains le prétendent, surtout quand le gouvernement, en même temps qu’il réduit ses dotations, nous transfère des responsabilités qu’il assumait avant : de manière scandaleuse et horriblement coûteuse aux Conseils généraux, de façon plus insidieuse mais réellement pénalisante aux communes. Baisser les dépenses n’est pas simple non plus, quand il faut aussi répondre aux attentes nouvelles et souvent légitimes exprimées par les Livryens. Tout en continuant de proposer de nouveaux services et de nouvelles réalisations, nous avons toutefois réussi en 2010 à diminuer de 1,66 % nos dépenses de fonctionnement, sans augmenter la dette communale.

Malgré cette gestion rigoureuse, conduite de longue date à Livry-Gargan, il n’a pas été possible de continuer cette année notre politique de stabilité des taux de la part communale des impôts locaux, qui n’avaient pas été augmentés depuis 2003. Mais l’effort supplémentaire que nous avons été contraints de demander aux Livryens n’est pas le fruit d’une quelconque dérive locale. Il est le résultat inévitable de la politique du gouvernement qui a trouvé habile de prendre dans les poches des collectivités et donc de tous les contribuables, l’argent dont il a besoin pour satisfaire les plus fortunés de ses soutiens.

dimanche 29 août 2010

Sécurité : des paroles aux actes...


Après un été où le thème de la sécurité a fait l'objet de nombreux commentaires, je reproduis ci-dessous, en avant première, le texte de la tribune que j’ai rédigée au nom de mes collègues du groupe des élus « socialistes, verts, radicaux et apparentés » du Conseil municipal, à paraître dans le n° 85 du magazine de la ville de Livry-Gargan daté de septembre 2010.

"Venu en avril installer le nouveau préfet de la Seine-Saint-Denis (le sixième depuis 2002 !) le président de la République avait fait de la sécurité, une fois de plus, son cheval de bataille. Ses déclarations au cours de l’été n’ont fait que confirmer le retour en force de ce thème dans son discours. Le problème est que la rengaine, destinée à faire oublier tout le reste, est usée. Les mots sont les mêmes depuis huit ans, mais rien ne change. Pire, les actes sur le terrain, notamment à Livry-Gargan, démontrent une réalité malheureusement bien différente.

Ainsi, depuis 2002, les effectifs de notre commissariat ont perdu près de 20 %. Il est vrai qu’on ne peut pas, d’un côté, décider de ne pas remplacer un départ en retraite de fonctionnaire sur deux et maintenir, de l’autre, les effectifs de la police nationale. La police de proximité, créée par la gauche, a été supprimée. Ainsi, les locaux mis à disposition et rénovés par la municipalité dans l’ancienne gendarmerie, inaugurés en 2003, n’ont-ils jamais été utilisés. Ils ont depuis été réattribués à la police municipale. En 2005, c’est le poste de commissaire qui a été tout bonnement supprimé. Quant à la construction du nouveau commissariat, décidée en 2000 par le gouvernement Jospin, si le terrain de l’ancien centre des impôts a bien été donné à l’Etat par la ville en 2001, près de neuf ans après, les travaux n’ont pas commencé malgré nos relances, laissant en entrée de ville le désastreux spectacle d’un bâtiment à l’abandon, récemment enfin sommairement muré !

De son côté, la ville de Livry-Gargan n’a cessé d’accentuer ses efforts pour contribuer à préserver la sécurité des Livryens. Pour permettre à la police nationale de se concentrer sur ses missions de sécurité publique, ce sont des personnels communaux qui assurent depuis bien longtemps la surveillance de la sortie des écoles, la réception des demandes relatives aux passeports et cartes d’identité. En 2000, nous avons créé la police municipale, qui prend en charge la verbalisation au stationnement, les contrôles de vitesse, les enquêtes de proximité… En 2007, nous avons mis en place une première tranche de vidéosurveillance sur la voie publique.

Les élus de notre groupe assument donc leurs responsabilités dans ce domaine. Mais la sécurité étant avant tout une compétence de l’Etat, il serait grand temps que la droite privilégie les actions concrètes et tangibles, aux lassantes proclamations de matamore."
J’ai également eu l’occasion de participer le 17 août à un débat télévisé sur ce thème, animé par le journaliste Sylvain Atal sur la chaîne internationale France 24, à l’occasion duquel j’étais confronté à la maire (UMP) de Saint-Gratien. Vous pouvez visionner ce débat en consultant mon site http://www.pascalpopelin.fr/

vendredi 6 août 2010

Découvrez bientôt une nouvelle version de mon site

Malgré la trève estivale, certains internautes se sont émus de ne plus pouvoir accéder à mon site http://www.pascalpopelin.fr/. La raison en est simple : un petit problème de renouvellement de nom de domaine, qui sera très prochainement réglé.

Par ailleurs, nous travaillons en ce moment, avec mon ami Xavier Hébert, webmaster bénévole, à une nouvelle version de cet outil, dont la forme n'avait que peu évoluée depuis sa première mise en ligne, en décembre 2006. Nous espérons qu'il vous sera possible de découvrir ce site "rénové" d'ici à la rentrée.