Grâce
aux votes de 54 % des électrices et des électeurs qui se sont exprimés un
certain 17 juin 2012, j’ai l’honneur d’être le député des Clichois, des
Coubronnais, des Livryens, des Montfermeillois, des Raincéens et des Valjoviens,
depuis maintenant près de cinq années.
A chaque instant depuis cette date, j’ai mis toute ma conviction et mon énergie au service de cette confiance, pour m’en montrer digne.
Au sein de la Commission des lois de l’Assemblée nationale et dans l’hémicycle, je me suis efforcé de faire entendre votre voix, d’agir au service de la France et des Français, en particulier sur les questions de sécurité et de lutte contre le terrorisme.
J’ai aussi défendu auprès du gouvernement et des collectivités territoriales -avec opiniâtreté et beaucoup de résultats- les grands dossiers, projets et intérêts de notre circonscription sur lesquels je m’étais engagé.
J’en ai régulièrement rendu compte.
J’ai voulu, enfin, demeurer accessible, à votre écoute avec mon équipe parlementaire et présent sur le terrain, parmi vous.
Il y a 32 ans, j’ai fait le choix -tout jeune- de m’engager dans la vie publique, avec la volonté d’apporter ma pierre au renouvellement et au progrès de notre belle démocratie. Elu sans discontinuer depuis plus de 23 ans, j’ai aimé passionnément agir pour ma commune, mon département, mon pays.
Ce long temps de ma vie s’achèvera le 19 juin prochain, au terme de mon mandat parlementaire dont j’ai décidé de ne pas solliciter le renouvellement. Je quitterai aussi alors le Conseil municipal de Livry-Gargan.
C’est un choix personnel et libre, que j’ai muri.
Je fais partie de ceux qui assument clairement le bilan de la législature qui s’achève, avec tout ce qu’il comporte de réussites, sans en éluder les échecs. J’ai la conviction que l’œuvre législative que nous avons entreprise au printemps 2012, dans un contexte particulièrement difficile, mériterait d’être poursuivie, pour amplifier les résultats qu’elle a déjà permis d’obtenir. Je m’y sentais prêt et en capacité d’en convaincre une majorité d’électeurs de la 12e circonscription de la Seine-Saint-Denis, les 11 et 18 juin prochains.
Un autre chemin a été pris par ma famille politique de toujours. Je ne suis plus le mieux placé pour en être l’incarnation. Je n’ai pas non plus la vocation de me transformer en oiseau migrateur.
Il s’agit là -à mes yeux- d’une question d’honnêteté, tant à l’égard des militants qui m’ont toujours soutenu, que de l’ensemble des citoyens qui ont -un jour ou régulièrement- voté pour moi.
A chaque instant depuis cette date, j’ai mis toute ma conviction et mon énergie au service de cette confiance, pour m’en montrer digne.
Au sein de la Commission des lois de l’Assemblée nationale et dans l’hémicycle, je me suis efforcé de faire entendre votre voix, d’agir au service de la France et des Français, en particulier sur les questions de sécurité et de lutte contre le terrorisme.
J’ai aussi défendu auprès du gouvernement et des collectivités territoriales -avec opiniâtreté et beaucoup de résultats- les grands dossiers, projets et intérêts de notre circonscription sur lesquels je m’étais engagé.
J’en ai régulièrement rendu compte.
J’ai voulu, enfin, demeurer accessible, à votre écoute avec mon équipe parlementaire et présent sur le terrain, parmi vous.
Il y a 32 ans, j’ai fait le choix -tout jeune- de m’engager dans la vie publique, avec la volonté d’apporter ma pierre au renouvellement et au progrès de notre belle démocratie. Elu sans discontinuer depuis plus de 23 ans, j’ai aimé passionnément agir pour ma commune, mon département, mon pays.
Ce long temps de ma vie s’achèvera le 19 juin prochain, au terme de mon mandat parlementaire dont j’ai décidé de ne pas solliciter le renouvellement. Je quitterai aussi alors le Conseil municipal de Livry-Gargan.
C’est un choix personnel et libre, que j’ai muri.
Je fais partie de ceux qui assument clairement le bilan de la législature qui s’achève, avec tout ce qu’il comporte de réussites, sans en éluder les échecs. J’ai la conviction que l’œuvre législative que nous avons entreprise au printemps 2012, dans un contexte particulièrement difficile, mériterait d’être poursuivie, pour amplifier les résultats qu’elle a déjà permis d’obtenir. Je m’y sentais prêt et en capacité d’en convaincre une majorité d’électeurs de la 12e circonscription de la Seine-Saint-Denis, les 11 et 18 juin prochains.
Un autre chemin a été pris par ma famille politique de toujours. Je ne suis plus le mieux placé pour en être l’incarnation. Je n’ai pas non plus la vocation de me transformer en oiseau migrateur.
Il s’agit là -à mes yeux- d’une question d’honnêteté, tant à l’égard des militants qui m’ont toujours soutenu, que de l’ensemble des citoyens qui ont -un jour ou régulièrement- voté pour moi.
Je
forme le vœu que ce bien si précieux qu’est le débat public, soit davantage
marqué par des débats de fond sérieux et la confrontation sereine de projets, plutôt
que par la violence, la caricature, le dénigrement de l’autre et la futilité.
Ma conviction est qu’il en va de l’avenir de notre démocratie. Telle a toujours
été mon approche et j’agirai résolument en ce sens, jusqu’au dernier jour de
mon mandat.
Je veux enfin, en ce moment particulier pour moi, vous dire ma gratitude de m’avoir donné cette occasion rare de représenter pendant cinq ans la Nation française, après m’avoir permis d’agir en votre nom à Livry-Gargan et en Seine-Saint-Denis durant deux décennies. Je vous remercie pour les moments d’échange ou d’émotion que j’ai partagés -d’une manière ou d’une autre- avec nombre d’entre vous. Ils m’ont tant appris pour la suite de ma vie.
Je veux enfin, en ce moment particulier pour moi, vous dire ma gratitude de m’avoir donné cette occasion rare de représenter pendant cinq ans la Nation française, après m’avoir permis d’agir en votre nom à Livry-Gargan et en Seine-Saint-Denis durant deux décennies. Je vous remercie pour les moments d’échange ou d’émotion que j’ai partagés -d’une manière ou d’une autre- avec nombre d’entre vous. Ils m’ont tant appris pour la suite de ma vie.